Un mode de vie sain

Le conseil d’adopter un mode de vie sain s’adresse à chacun d’entre nous pour être et rester en bonne santé. Aussi, si vous voulez éviter coûte que coûte d’éviter le diabète, ayez une hygiène de vie saine. Cela commence par un régime alimentaire équilibré. Cela vous permettra de contrôler votre glycémie mais aussi de stabiliser votre poids. Pour cela, réduisez la quantité de graisse que vous consommez et privilégiez les aliments bouillis, grillés ou cuits à la vapeur. Réduisez également votre consommation de sel et de plats préparés et exit les bonbons, les gâteaux et les biscuits. Buvez peu d’alcool, mais beaucoup d’eau plate, mangez trois fois par jour, aux mêmes heures et dites non au grignotage. En vous auto-disciplinant ainsi, vous éloignerez le spectre du diabète.

Non au stress et oui au sport

Il est très important de bien gérer votre stress car ce peut être un facteur déclenchant le diabète. Prenez le temps de vous détendre, de passer un bon moment avec votre famille et vos amis, partez en vacances. Ne négligez pas votre vie sociale, promenez-vous dans un parc de temps à autre, faites de la méditation si vous vous sentez trop stressé. Puis, pratiquez un sport, une activité physique de votre choix et qui vous motive mais surtout, qui vous fait transpirer et relance joyeusement votre coeur. Faire du sport de manière régulière permet de faire baisser le taux de sucre dans votre sang. Consultez votre médecin pour être sûr.

Présence d’un soutien humain

Selon son état de santé et son niveau d’autonomie, une personne âgée ne peut pas toujours rester seule dans sa demeure même si telle est son souhait. En effet, la réalisation de certaines tâches telles que la cuisine, la toilette ou même le simple fait de se déplacer risque de lui être difficile. Elle a par conséquent besoin d’une assistance pour lui permettre de mieux vivre au quotidien. En général, c’est aux membres de la famille de fournir cette assistance. Cependant, il n’est pas toujours facile de prendre soin d’une personne âgée. Cette dernière est susceptible d’avoir une santé fragile qui requiert certains soins. Les personnes souffrant de maladies en particulier ont en plus besoin d’un soutien médical à domicile. Pour toutes ces raisons, faire appel à une assistance externe se révèle indispensable. Fort heureusement, les aides pour rester à domicile sont nombreuses. On peut aujourd’hui avoir recours à des services spécialisés, dont l’assistance à domicile pour personnes âgées.

Un meilleur aménagement du lieu de vie

Le maintien à domicile d’une personne âgée n’est envisageable que lorsque le logement dans lequel elle vit est correctement aménagé. L’aménagement d’un environnement sécurisé doit ainsi répondre aux besoins du locataire senior. L’installation de portes plus larges est par exemple recommandée pour une personne qui se déplace en fauteuil roulant. L’installation d’un monte-escalier réduira les risques de chutes si le logement en question comporte des étages. Il est aussi possible d’installer des équipements permettant d’apporter une téléassistance. De manière simple, cela consiste à mettre en place divers capteurs et récepteurs capables de détecter les anomalies dans l’habitation. Lorsqu’un problème survient, une alerte est envoyée et le service d’assistance pourra se rendre en urgence au domicile du senior pour lui venir en aide. Selon les aménagements à effectuer, les coûts à prévoir peuvent s’avérer conséquents. Il est heureusement possible de faire appel à certaines aides telles que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA).

Quand est-ce que le maintien à domicile n’est pas possible ?

L’état de santé de la personne âgée détermine la possibilité de réaliser un maintien à domicile. S’il y a une limitation sur le plan physique, cela peut être surmonté avec l’aide d’une assistance et d’un équipement adéquat. En revanche, il est plus difficile de prendre en charge à domicile une personne ayant des difficultés mentales. Le maintien ne peut pas se faire dans ce cas étant donné que le senior peut avoir besoin d’un suivi psychologique et psychiatrique permanent.

Même s’il est possible de faire appel à une aide externe, la présence d’un ou de plusieurs membres de la famille est nécessaire pour le bien-être de la personne âgée. Cette présence permet de réduire les risques de solitude. Si cela n’est pas possible, le maintien à domicile sera également difficile, voire impossible.

Enfin, les moyens financiers du senior ou de sa famille sont les derniers facteurs importants à considérer. L’aménagement du logement ainsi que les services d’assistance à domicile engendrent des coûts. Si malgré les aides financières, le senior et sa famille n’ont pas assez de moyens pour engager des aménagements, le maintien à domicile ne pourra pas se faire.

L’extinction de voix, une inflammation bénigne

L’extinction de voix fait partie de ces petits maux qui ne portent pas à conséquence, mais bien désagréables. Il vous est peut-être arrivé d’avoir la voix cassée après un coup de froid, et si à ce moment-là, vous aviez dû prendre la parole en public ou diriger une réunion de travail, qu’est-ce que cela aurait été pénible ! Le plus souvent, l’extinction de voix est d’origine virale : une rhino-pharyngite ou un rhume. Le fait de crier trop longtemps, de hurler ou de forcer votre voix, de parler à haute voix pendant de longues heures peut finir par rompre un vaisseau sur l’une de vos cordes vocales. L’extinction de voix est une inflammation assez anodine, il faut le dire, toutefois, il est important de la traiter dans les meilleurs délais. Comment faire ? Taisez-vous. Oui, arrêtez de parler, arrêtez d’essayer de parler, cela ne fait qu’aggraver l’inflammation. Même chuchoter n’est pas bien parce que vous sollicitez quand même vos cordes vocales. Si vous n’avez pas un humidificateur d’air, faites sécher du linge dans votre chambre par exemple, c’est bénéfique pour réparer les lésions vocales. Évitez l’air conditionné, car c’est de l’air sec, pas bon du tout pour vos cordes vocales.

Des solutions en cas d’extinction de voix

Si vous avez une extinction de voix en plein hiver, évitez de rester trop longtemps dehors, car vos cordes vocales doivent être à l’abri du froid. Regardez ces conseils de respiration, qui peuvent vous aider. Si en plus de votre extinction, vous toussez, consultez et votre médecin vous prescrira sans doute un sirop pour toux sèche afin que vous toussiez moins, car le fait de tousser fait encore plus de mal à vos cordes vocales. Normalement, au bout de trois ou quatre jours, vous devriez retrouver votre voix, mais si vous devez la retrouver au plus vite, consultez un spécialiste ORL qui vous recommandera un traitement à base de cortisone. Mais il existe également des remèdes naturels qui sont très efficaces, en tout cas, qui vous soulagera assez rapidement. Essayez les inhalations auxquelles vous aurez mis quelques gouttes d’huiles essentielles de thym et d’eucalyptus. Sachez que la vapeur d’eau hydrate et donc, fait du bien à vos cordes vocales. Si vous fumez, il est temps de faire une pause, ou pourquoi pas, en profiter pour arrêter une bonne fois pour toutes. Arrêtez l’alcool et le café qui ne sont pas non plus bons car ils aggravent l’inflammation. En cas de récidive trop souvent, consultez sans attendre.

Le stress post-traumatique, la conséquence d’un choc émotionnel

Reconnu comme une véritable pathologie, le stress post-traumatique est un trouble anxieux sévère. Il survient généralement après un événement tragique tel que la perte d’un proche ou une expérience confrontant à la mort. Les soldats revenant du combat souffrent parfois de cette maladie. Cela dit, tout le monde peut la contracter suite à un attentat ou un accident assez grave. Parfois, un licenciement, voire une rupture amoureuse peut causer le stress post-traumatique. Un respectable institut de veille sur la santé publique en France a estimé à 0,7 % la prévalence de ce trouble parmi la population de l’Hexagone. Ainsi, vous avez probablement des proches ou des amis qui ont besoin d’une aide pour la gestion des émotions. L’Institut poursuit son rapport en indiquant que les symptômes peuvent mettre du temps à se manifester. Les victimes d’insécurité ou de peine de cœur rencontrent des difficultés émotionnelles sévères dans l’année du choc ou du traumatisme psychologique.

Reconnaître les symptômes de ce mal discret

Il faut de l’aide ou au moins une meilleure gestion des émotions lorsqu’une personne victime d’un choc psychologique souffre d’insomnie. Les premiers jours qui suivent l’événement, il est normal de ne pas trouver le sommeil. Par contre, si les nuits blanches deviennent des habitudes, il faudra chercher une solution. D’ailleurs, le manque de sommeil aggrave les autres symptômes tels que l’irritabilité, les humeurs instables ou les phobies. Les personnes subissant un stress intense suite à un tragique événement tendent à sombrer dans l’alcool ou d’autres mauvaises habitudes. Au côté de la toxicomanie, une dépression dévastatrice est également courante. Quoi qu’il en soit, il faut faire attention dès que la personne développe une certaine tendance à s’isoler. Les stressés communiquent moins et évitent la foule. Ils finissent par ne plus sortir de la maison à cause d’une vraie phobie sociale.

Programmer une libération émotionnelle et une gestion des ressentis

Autant dire qu’il n’y a pas de traitement miracle pour le stress post-traumatique. Le corps médical connaît bien ce trouble et peut proposer des anxiolytiques. Les médecins recommandent également de se tourner vers des spécialistes. Ces derniers interviennent en plusieurs étapes en commençant par une libération émotionnelle. Selon le site https://www.emotions-detox.fr/, la tension que la personne a accumulée en elle doit être relâchée. Les pleurs et les réactions parfois inattendues sont courants. Cela évite aussi le déni. En effet, certains patients ayant perdu un être cher s’inventent un monde où ils trouvent encore leur proche. L’idéal serait de se rendre à l’évidence et d’essayer de commencer une nouvelle page. Puis, il faudra programmer une gestion émotionnelle. La tristesse et la colère font partie de différentes palettes à gérer.

Le laser : l’outil le plus répandu

Le détatouage au laser est de loin la technique la plus utilisée. Et depuis peu, les professionnels ont de plus en plus recours au detatouage, et notamment via un laser haute performance. Ainsi, leurs clients n’ont pas à subir les inconvénients présentés par un laser classique et par les autres méthodes beaucoup plus « primaires » (destruction chimique, dermabrasion, chirurgie, crème antitatouage…). Par ailleurs, la technologie laser haute performance est moins douloureuse en plus d’offrir un résultat beaucoup plus satisfaisant que les autres types de laser. Surtout, ce mode de détatouage n’endommage pas la peau.

Le détatouage : une opération en longueur

Ne vous attendez surtout pas à voir votre tatouage complètement effacé après une séance de 30 minutes. Que le tatouage ait été réalisé en une séance, étalé sur plusieurs heures ou non, le détatouage constitue toujours une procédure qui mobilise plusieurs séances réparties sur plusieurs semaines. En réalité, la durée du détatouage dépend de la complexité du tatouage : plus il y a de couleurs et de motifs, plus le détatouage monopolise du temps. Naturellement, plus le tatouage est grand, plus il sera difficile à enlever. L’ancienneté du tatouage doit également être prise en compte. Après la dernière séance, il faut parfois attendre plusieurs mois pour que le tatouage disparaisse complètement.

Traitement post opération

Après chaque séance, appliquez tous les conseils que vous donnera le professionnel qui réalise votre détatouage. Sans cela, vous risquez d’avoir d’énormes cicatrices impossibles à ôter sauf si vous recourrez à la chirurgie esthétique ou la médecine esthétique. Pire, des infections peuvent se produire. Tout cela explique pourquoi il est important de confier votre détatouage à une clinique dermo-esthétique, voire à une clinique médicale dotée d’un service dermatologique ou d’un service de médecine esthétique.

5 soins à adopter pour vos ongles

La première chose à faire pour avoir des ongles en bonne santé est de les laisser respirer. Réduisez la fréquence de poses de vernis, au moins une fois par mois pendant une semaine. L’utilisation permanente des vernis assèche les ongles en les rendant cassants et fragiles. Deuxièmement, faites un gommage des mains pour enlever les cellules mortes autour des ongles. Mélangez 1 cuillère à soupe de gros sel, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive, 1 cuillère à café de miel et 1 cuillère à café de citron. Puis, massez doucement vos mains avec la pulpe des doigts en insistant sur le contour des ongles. Rincez et séchez les mains en tapotant doucement avec une serviette. Troisièmement, faites un masque hydratant en appliquant en couche épaisse une crème hydratante sur vos ongles et enfilez des gants en plastique. Ceci permet à la crème de mieux pénétrer dans les ongles. Laissez agir pendant 10 minutes environ avant de retirer les gants. Quatrièmement, raccourcissez régulièrement vos ongles surtout quand ils sont cassants. Puis, limez le bord de vos ongles dans le même sens en utilisant une lime éponge ou aux grains légers. Évitez les limes en métal trop agressives. Cinquièmement, n’utilisez jamais de polissoir. Il est vrai qu’il permet de polir la surface des ongles en enlevant les bosses, les stries et les dédoublements. Toutefois, il abîme également les ongles en les affinant et les rendant trop fragiles.

5 techniques pour embellir vos ongles

Pour avoir de beaux ongles tous les jours, il suffit d’adopter le nail art. Vous en saurez plus sur l’art de décorer les ongles sur http://www.nailart.fr/. Parmi les techniques de nail art que vous pouvez utiliser, il y a la french manucure. Il s’agit d’utiliser un vernis nude et un bout blanc. Pour un style plus moderne, vous pouvez utiliser deux couleurs flashys à la place du vernis nude. Appliquez d’abord la couleur la plus foncée sur votre ongle. Ensuite, effacez sans attendre le bout de l’ongle avec un mouchoir en formant un arc de cercle. Appliquez ensuite la couleur la plus claire sur la partie sans vernis et terminez par un top coat pour mieux fixer le vernis. Vous pouvez utiliser des bandes autocollantes en forme d’arc de cercle si vous n’êtes pas très manuelle.
Vous pouvez utiliser des stickers pour un nail art plus rapide et plus sophistiqué. Vous avez une infinité de motifs devant vous.
Vous pouvez adopter le style des petits pois en utilisant une coupelle et des cure-dents. Appliquez la couleur de fond sur toute la surface et laissez sécher. Ensuite, versez l’autre vernis dans une coupelle. Plongez-y les cure-dents pour prélever un peu de vernis et déposez la gouttelette sur la surface de l’ongle sans appuyer.
Vous pouvez faire un dégradé en appliquant un vernis en couche fine sur toute la surface de l’ongle. On applique le deuxième vernis sur les deux tiers supérieurs de l’ongle. Puis, on applique le dernier vernis sur le bout de l’ongle.
Vous pouvez décorer vos ongles avec du vernis à relief en appliquant d’abord un vernis, puis en ornant la surface avec de la poudre à colorer ou du fard à paupières. Terminez toujours avec un top coat pour fixer et faire briller.

Une maladie éruptive de plus à gérer pour les mamans

Comme vous l’aurez peut-être deviné, la rubéole est une maladie infectieuse qui se manifeste par des éruptions cutanées. Comme les bébés ne peuvent pas encore s’exprimer, ils ont eu le privilège d’avoir une peau qui dit tout. En plus des boutons, elle se manifeste par des symptômes qui rappellent le rhume. L’écoulement nasal vous avertira dès les premiers jours. Parfois, des ganglions apparaissent. Sur certains bébés, cette pathologie virale contagieuse reste totalement inaperçue. Cette maladie d’origine virale arrive également aux enfants d’âge scolaire, jusqu’à 7 ans.

La vaccination est primordiale contre cette pathologie

Les symptômes varient d’un enfant à l’autre. Un bébé vacciné contre cette maladie n’aura probablement pas de complication. Sachez que la maladie disparaîtra au bout d’une semaine. Il faudra tout de même vous assurer que votre enfant a effectivement reçu son vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Un petit non immunisé contre le virus de cette maladie éruptive bénigne demandera beaucoup plus d’attention. Dans tous les cas, il vaut mieux consulter pour en avoir le cœur net. S’il ne connaît pas votre famille, le médecin demandera à voir le carnet de vaccination. Il décidera du traitement en conséquence.
En tant que parents, que pouvez-vous faire de plus ? Cherchez à atténuer les symptômes. Si l’enfant a le nez qui coule, vous pouvez le garder à la maison pour ne pas transmettre la maladie à ses camarades de classe. Faites attention, la rubéole devient maligne chez la femme enceinte et le fœtus.