Manifestations de la dermatite atopique

Les manifestations de la dermatite atopique peuvent varier car par exemple, chez le nourrisson, elle se voit sur les joues ou sur le front, parfois sur le cuir chevelu et peuvent atteindre les bras, le tronc et les jambes. A partir de l’âge de 2 ans, les lésions se concentreront surtout dans les plis de coudes, des poignets et des genoux. A l’adolescence ou à l’âge adulte, les lésions, qui se seront épaissies, apparaîtront surtout au visage et au cou ainsi qu’au niveau des membres.

Quelles sont les complications de la dermatite atopique ?

La dermatite atopique peuvent évoluer et se compliquer des manières suivantes : une surinfection par le staphylocoque doré ou ce qu’on appelle impétiginisation qui provoque des écoulements, des croûtes jaunâtres ou des bulles, ou encore la surinfection par le virus de l’herpès, notamment le HSV-1. Bien que cette dernière complication soit assez rare, elle peut entraîner des conséquences graves. La personne atteinte peut voir sa maladie s’aggraver et voir apparaître sur tout son corps des lésions vésiculeuses multiples qui donnent des plaies. Pour le traitement de la dermatite atopique, il faut limiter les facteurs favorisants, éviter les bains trop chauds et privilégier les savons doux tels que les savons surgras.

Causes et symptômes de la diarrhée aiguë

Selon http://diarrhee.info, la diarrhée aiguë peut être causée par une gastro-entérite. Dans ce cas, c’est un virus qui en est l’origine. Lorsqu’il s’agit de gastro-entérite, la diarrhée s’accompagne de douleurs abdominales, de nausées, de vomissements et d’une fièvre. Parfois, on peut constater des céphalées ainsi que des douleurs musculaires.

Dans la plupart des cas, la diarrhée aiguë survient à la suite d’une intoxication alimentaire. Dans ce cas, c’est une bactérie qui en est l’origine. Les bactéries les plus impliquées lors d’une diarrhée aiguë sont : les entérobactéries comme la salmonella, la Shigella ou encore l’Escherichia coli, ainsi que les Campylobacter.

Dans les diarrhées aiguës d’origine bactérienne, la présence de glaire et de sang peut être constatée dans les selles. Dans ce cas, on parle de diarrhée dysentérique. En même temps, la diarrhée peut s’accompagner de douleurs abdominales, de fièvre, de nausées et de vomissements. La diarrhée dysentérique nécessite la consultation d’un médecin.

Traitement contre la diarrhée aiguë

Même si le diagnostic aide dans le traitement d’une maladie, la diarrhée aiguë ne nécessite pas toujours d’examens médicaux. À la limite, des examens parasitologiques des selles peuvent être demandés. Ceci étant, le médecin peut déjà prescrire un traitement.

Comme l’organisme perd beaucoup d’eau lors d’une diarrhée aiguë, le risque de déshydratation est élevé. Le premier réflexe est alors de boire beaucoup d’eau. La SRO ou solution de réhydratation orale est conseillée surtout chez les enfants.

Le médecin peut prescrire des antidiarrhéiques pour calmer la diarrhée ainsi que des antispasmodiques pour soulager les douleurs abdominales. Si la diarrhée est d’origine bactérienne, l’administration d’antibiotiques est nécessaire. En général, les diarrhées aiguës s’arrêtent au bout de 2 à 3 jours. Si elle persiste avec les autres symptômes, des examens de coproculture peuvent être effectués afin d’identifier le germe responsable. Toutefois, la diarrhée ne doit pas être négligée si elle se manifeste chez le nourrisson ou les enfants.

Les mesures de prévention contre la diarrhée aiguë

La diarrhée aiguë peut passer pour une affection courante et bénigne, mais elle fait des victimes si elle n’est pas soignée. Heureusement, il est possible d’éviter la diarrhée en ayant une bonne hygiène de vie et une bonne hygiène alimentaire.

Une bonne hygiène commence par se laver les mains : avant de préparer les repas, après être allé aux toilettes, avant les repas. Il est aussi conseillé de bien laver les aliments ainsi que leur lieu de stockage.

Concernant la nourriture, n’hésitez pas à consulter la date de péremption de vos aliments. Certains aliments ont plus de chance de provoquer une diarrhée que d’autres. On peut citer l’eau (si elle est de provenance douteuse), les crudités, les produits laitiers, les viandes crues ou peu cuites, les crustacés et les poissons.

Quels en sont les symptômes ?

Le métabolisme de la personne touchée par l’hypothyroïdie est bouleversé, plus précisément, il est ralenti. En règle générale, chez l’adulte, l’hypothyroïdie se traduit par les symptômes suivants : constipation, yeux gonflés, visage bouffi, grande frilosité, manque de tonus et fatigue chronique (dès le réveil), irritabilité quasi permanente, dépression dans certains cas graves, rythme cardiaque ralenti qui peut provoquer un essoufflement. Il existe encore d’autres symptômes tels que des douleurs, des crampes et des raideurs au niveau des muscles et des articulations.

D’autres signes de l’hypothyroïdie

Il y a d’autres signes indiquant qu’une personne souffre d’hypothyroïdie. Ce peut être un changement dans la voix (celle-ci devient enrouée et plus grave) ou un assèchement de la peau. Chez la femme, l’hypothyroïdie peut se présenter par des cycles menstruels plus irréguliers, plus longs que d’habitude ou des menstruations très abondantes ou inexistantes. L’infertilité est également une autre manifestation de l’hypothyroïdie, tout comme le goitre. Ce dernier est un gonflement à la base du cou causé par l’enflement de la thyroïde. Chez certaines personnes âgées, l’hypothyroïdie se traduit par de la confusion, une perte de mémoire de plus en plus importante, une concentration de plus en plus déficiente. Il peut arriver que le taux de cholestérol du malade augmente de beaucoup. Ce sont autant de symptômes qui indiquent une hypothyroïdie bel et bien installée.

Si vous présentez plusieurs de ces symptômes, consultez sans tarder votre médecin. Il peut vous expliquer les causes possibles de votre hypothyroïdie et vous proposer un traitement.

Comment l’hypothyroïdie se manifeste-t-elle chez les nouveau-nés ?

Malheureusement, même les nouveau-nés peuvent souffrir d’hypothyroïdie. Dans ce genre de cas, il est question d’hypothyroïdie congénitale. Quels signes visibles montrent qu’un enfant à la naissance souffre de cette maladie ? Premièrement, le bébé a un poids inférieur à la normale ou trop important. Il a un type de jaunisse qui se traduit par une peau jaune et qui persiste 8 jours après la naissance. La persistance des poils fins à la naissance peut être une preuve de la présence d’une hypothyroïdie, de même que les fontanelles qui s’élargissent. Un manque d’appétit, des cernes bleus sous les yeux et autour des narines, une langue anormalement grande, une constipation, une peau sèche, et des pleurs rauques sont autant de preuves qu’un bébé souffre d’hypothyroïdie. Un état permanent de somnolence devrait aussi inquiéter les parents, ainsi que l’absence de pleurs, un manque de tonus musculaire, ou des troubles de la succion. Un bébé qui atteint son troisième mois et qui a des retards psychomoteurs peut aussi souffrir d’hypothyroïdie. Si un bébé présente l’un de ces symptômes ou plusieurs de ces symptômes, les parents ne devraient pas tarder à l’emmener chez un médecin ou chez le pédiatre.

Une maladie éruptive de plus à gérer pour les mamans

Comme vous l’aurez peut-être deviné, la rubéole est une maladie infectieuse qui se manifeste par des éruptions cutanées. Comme les bébés ne peuvent pas encore s’exprimer, ils ont eu le privilège d’avoir une peau qui dit tout. En plus des boutons, elle se manifeste par des symptômes qui rappellent le rhume. L’écoulement nasal vous avertira dès les premiers jours. Parfois, des ganglions apparaissent. Sur certains bébés, cette pathologie virale contagieuse reste totalement inaperçue. Cette maladie d’origine virale arrive également aux enfants d’âge scolaire, jusqu’à 7 ans.

La vaccination est primordiale contre cette pathologie

Les symptômes varient d’un enfant à l’autre. Un bébé vacciné contre cette maladie n’aura probablement pas de complication. Sachez que la maladie disparaîtra au bout d’une semaine. Il faudra tout de même vous assurer que votre enfant a effectivement reçu son vaccin ROR contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Un petit non immunisé contre le virus de cette maladie éruptive bénigne demandera beaucoup plus d’attention. Dans tous les cas, il vaut mieux consulter pour en avoir le cœur net. S’il ne connaît pas votre famille, le médecin demandera à voir le carnet de vaccination. Il décidera du traitement en conséquence.
En tant que parents, que pouvez-vous faire de plus ? Cherchez à atténuer les symptômes. Si l’enfant a le nez qui coule, vous pouvez le garder à la maison pour ne pas transmettre la maladie à ses camarades de classe. Faites attention, la rubéole devient maligne chez la femme enceinte et le fœtus.

Une inflammation du tractus intestinal

La gastro-entérite vient généralement de la prolifération d’agents pathogènes dans le tube digestif. Lorsque les intrus sont atteignent une quantité significative, le patient a des diarrhées. La personne a continuellement envie d’aller aux toilettes. Parfois, les envies sont insoutenables. Des épisodes de vomissement peuvent également survenir. A cela s’ajoutent des crampes et des douleurs abdominales. Dans certains cas, la déshydratation vient brutalement. Le poids du malade descend alors considérablement et il est fatigué.

Une pathologie affectant les enfants

Les spécialistes de la santé estiment qu’entre 3 et 5 millions de cas de gastro-entérite sont soignés annuellement à travers le monde. Ce qui en fait la maladie la plus connue de la planète. Les adultes comme les enfants sont touchés. Cependant, les petits sont plus vulnérables étant donné que leur système immunitaire n’est pas encore mature. Ce sont surtout les enfants de moins de 5 ans qui souffrent de cette pathologie. Malheureusement, c’est l’une des causes de mortalité infantile dans le tiers monde.

Que faire pour ne pas la contracter

Plusieurs virus sont susceptibles de causer la gastro-entérite. Le rotavirus est en tête de peloton. Heureusement, un vaccin contre cet agent pathogène existe déjà. Puis, plusieurs bactéries sont également indiquées comme responsables des maux de ventre. L’Escherichia Coli qui prolifère dans les aliments mal conservés est en tête de fil. Ainsi, pour réduire le risque de diarrhées, il faut se laver régulièrement les mains. En même temps, il est préférable de ne jamais rompre la chaine du froid lors de la conservation des aliments.